Jolie découverte ce soir, WITHOUT A CLUE, variation maline au script très bien ficelé sur le duo Holmes et Watson. Ben Kingsley est super en Watson, mais ce que propose Michael Caine est d'une richesse confondante. Trop de talent ! Et le score de Mancini est très élégant.

🌟 Aujourd'hui dans les archives ! Le numéro 221 du magazine "Cinéma" de Mai 1977, avec au menu, un entretien avec Arthur Penn, un regard sur le cinéma Maghrébin et le réalisateur Gleb Panfilov décortiqué en 3 films.🔻 archive.org/details/cine...

L'Homme qui pensait des choses de Jens Ravn est un film de discrète science fiction, où le presque surnaturel est un prétexte pour engager un récit sur le double. C'est aussi un pur thriller psychologique amplifié par des décors grands, symétriques, labyrinthiques comme autant d'illusion d'optiques.

Notre nouveau podcast avec @chris-losttales.bsky.social est sorti hier ! Bonne écoute !

Our time will come (Ann Hui) : La résistance contre l'occupation japonaise est ici vue au travers des personnes en apparence ordinaire qui transmettent les messages, aident à l'approvisionnement, hébergent et soignent les blessé.e.s, en somme qui gèrent la lutte et se mettent en danger au quotidien.

Tout est de pire en pire chaque putain de jour

www.arte.tv/fr/videos/12... Il y a Élémentaire mon cher...Lock Holmes sur arte, c'est très drôle, Michael Caine est un super faux Sherlock Holmes et j'ai souvenir que la musique de Mancini est bien cool.

Sinners : Ryan Coogler veut beaucoup en faire et le film paye régulièrement le prix de sa gourmandise. Tout est trop explicité (surtout les 20 dernières minutes), le flashforward introductif et les reprises d'images déjà vues plus tôt pour clarifier ce à quoi pensent les persos sont très maladroits,

Petit rappel que s'il y a bien UN film à découvrir au cinéma cette semaine c'est bien lui

Voici notre nouveau podcast avec @chris-losttales.bsky.social , Trente millions d'attaques, consacré aux films d'attaque animale ! Il reste sans doute plein d'ajustements à faire mais j'espère que ça vous intéressera. Bonne écoute, merci de partager ! 30millionsdattaques.lepodcast.fr/1-lincroyabl...

Sinners : Ryan Coogler veut beaucoup en faire et le film paye régulièrement le prix de sa gourmandise. Tout est trop explicité (surtout les 20 dernières minutes), le flashforward introductif et les reprises d'images déjà vues plus tôt pour clarifier ce à quoi pensent les persos sont très maladroits,

Pour ces gens l'IA c'est vraiment le rêve ultime du capitalisme, ou on peut ne faire exister autrui qu'en tant qu'objet, outil ou ressource à notre usage exclusif...

Moi, presque chaque soir, quand je passe une heure à trouver quoi regarder : (vous en faîtes pas ça passe dès que je trouve le bon film)

Petit thread dans le thread, mais un truc qui m'attriste là dedans aussi c'est que dans tous les domaines l'IA se vend comme "l'outil qui permet à tout le monde d'être expert en tout" mais en fait c'est exactement l'inverse: l'IA fait en sorte de déposséder tout le monde de toutes les connaissances

Desert of Namibia (Yoko Yamanaka): Le film adopte d'emblée une narration un peu fragmentaire, on a le sentiment de transitions manquantes entre les scènes pour fluidifier le récit. Kana, qui a de nombreux moments d'absence ou d'indifférence, perd une certaine continuité de sa perception du quotidien

Jeune idole en pleine ascension, Mai commet l’irréparable: tomber amoureuse, malgré l’interdiction formelle dans son contrat. Lorsque sa relation éclate au grand jour, elle est traînée par sa propre agence devant la justice. Confrontés à une machine implacable, les deux amants décident de se battre.

Si vous ne savez pas quoi regarder en mon absence, ma liste de recommandations de films réalisés (et pour la plupart écrits) par des femmes vient d'atteindre les 180 entrées avec l'ajout de La Voix de Hind Rajab de Kaouther Ben Hania. Bonnes découvertes !

Eh bien...On peut dire que ça me rend curieux de manière mitigée, parce que j'adore Kore-eda, mais Look back (le manga, je n'ai pas vu l'anime) je trouve ça pas mal naze

Desert of Namibia (Yoko Yamanaka): Le film adopte d'emblée une narration un peu fragmentaire, on a le sentiment de transitions manquantes entre les scènes pour fluidifier le récit. Kana, qui a de nombreux moments d'absence ou d'indifférence, perd une certaine continuité de sa perception du quotidien

Madame Bovary. Si Flaubert me vomit son mépris pendant 400 pages il pourrait au moins avoir la décence de le faire en n'écrivant pas comme un cul.

Quino

Ça parle léchage d'un film où on lèche des pieds et d'un autre où on lèche des slips (et d'autres trucs aussi mais enfin je résume l'essentiel), suivez donc le camarade pour un beau voyage dans des terres trop peu explorées du cinéma.

Le prochain Ryusuke Hamaguchi, avec Virginie Efira, durera 3 heures... 🙏🙏🙏🙏 Le cinéma

Les votes pour le prix Alice Guy 2026 sont ouverts ! www.prixaliceguy.com/votez-pour-l...

Idée cadeau pour @fry3000.bsky.social

L'arrivée de l'IA enterre définitivement le mythe des riches entrepreneurs qui "créent de l'emploi". Ils ne créent pas de l'emploi, ils ont besoin de tirer parti du travail des autres pour se faire de l'argent. Dites à n'importe quel patron qu'il gagnera + grâce à l'IA et il licenciera direct.

Novembre aura été d'abord pour moi la deuxième partie du FFCP ; ainsi j'ai découvert en fort bonne compagnie Boy in the pool de Ryu Yeon-su, désormais mon film favori de l'année ; l'exceptionnel documentaire Peafowl de Byun Sung-bin, et le sublime documentaire My missing aunt de Yang Ju-yeon

Cette semaine a lieu la ressortie événement du chef d'œuvre de Mamoru Oshii : l'œuf de l'ange débarque dans nos salles en version restaurée, via le distributeur Eurozoom. Pour vous mettre l'eau à la bouche, nos quelques mots sur un film unique en son genre : www.cinematraque.com/2025/12/01/l...

La voix de Hind Rajab (Kaouther Ben Hania): par ses retours fréquents aux vraies voix des agents téléphoniques, le film rappelle que la fiction n'a pas pour but de remplacer le réel: la reconstitution sert à dresser un pont, à nous connecter en tant que spectateurice à la voix réelle de Hind Rajab

Ah tiens, petite originalité de la part de 9e Art + qui accuse donc les pouvoirs publics plutôt que le wokisme, on peut applaudir cette forme de mini-prise de risque dans la médiocrité !

Second life (Park Young-ju) : C'est étonnant de douceur au vu de la violence du récit. Sans vraiment la défendre, le film est en totale empathie avec sa protagoniste, très touchante dans son effacement et sa conviction que celle qu'elle est véritablement ne mérite pas l'attention.

Tout est horrible. Horrible. www.nouvelobs.com/economie/202...

boxd.it/FP8Pe Alors que j'avais vu peu de films l'année dernière (sorties récentes comme plus anciens d'ailleurs), ma liste pour cette année atteint la centaine (bon ok il y a des films de festival dedans et je sais pas si ça compte pour de vrai). Et il y a beaucoup de films merveilleux !

Second life (Park Young-ju) : C'est étonnant de douceur au vu de la violence du récit. Sans vraiment la défendre, le film est en totale empathie avec sa protagoniste, très touchante dans son effacement et sa conviction que celle qu'elle est véritablement ne mérite pas l'attention.

Le titre est parfait, j'ai immensément hâte de voir "The world of love", mais je proteste contre les soupçons de mauvaise foi pour la remise des prix à venir sur le discord, ce sera un grand moment d'objectivité j'en suis certain.

Without saying Star Wars, name a science fiction film.

Sûrement mon Resnais préféré, donc un de mes films préférés. C'est un chef d'oeuvre.

Without saying Star Wars, name a science fiction film.

J'espère vraiment qu'il y aura une sortie plus large, au moins sur le marché domestique, parce que ses deux premiers films sont merveilleux et j'attends beaucoup celui-ci !

Audacieux ce calendrier de l'Avent Marmiton

Réponse collective parce que c’est juste trop drôle de vous voir croire que c’est une repompe cheap de Gargoyles ou des Tortues Ninja et d’imaginer vos têtes face à la révélation du secret : C’est le Dracula de Luc Besson. 2025. 50 millions de budget.

The colors within (Naoko Yamada): Sans surprise, c'est sublime dans l'animation, le travail des couleurs, la composition des plans. Les chansons comme les musiques instrumentales sont superbes, j'adore la façon dont Kensuke Ushio utilise l'intimité créée par un piano enregistré proche des marteaux.

Petit zine tout beau tout chaud (avec des trames et un raton laveur) pixelfed.social/p/shiyata/90...

The colors within (Naoko Yamada): Sans surprise, c'est sublime dans l'animation, le travail des couleurs, la composition des plans. Les chansons comme les musiques instrumentales sont superbes, j'adore la façon dont Kensuke Ushio utilise l'intimité créée par un piano enregistré proche des marteaux.

Dans Regain de Marcel Pagnol, il y a la construction d'un paradis. Contre l'autorité, contre le progrès, le film se construit autour de l'entre-aide, de l'échange, du donnant donnant. Chaque personnage est une figure : le vagabond, le bon, la femme presque sainte.

“I was just following otters.”

J'ai rien compris non plus mais ce screen est parfait, à deux doigts de me le faire imprimer format A2 pour afficher dans ma chambre.

L'extrême-droite n'aime pas la culture. Elle n'aime pas la création, la nouveauté, la réécriture, l'adaptation, l'expression.