Merci à DVDClassik pour l'invitation

Un jeune Tatsuya Nakadai

Un aperçu du magnifique livret du coffret Lady Yakuza (comment peut-il en être autrement avec des photos de Junko Fuji), pour lequel j'ai préface les huit films et intervenu dans un bonus.

C'est presque surnaturel mais Sophia Loren est encore vivante.

La beauté est morte ce soir

Mon article sur cet excellent documentaire www.nouvelobs.com/teleobs/2025...

Comme, les producteurs de Bond ont toujours du mal à trouver un successeur à Craig, ils devraient repartir dans l'expérimentation, et faire un ou deux films autonomes avec Jude Law, qui a maintenant la gueule idéale (je suppose que comme tous les acteurs anglais il avait dû être envisagé)

Totalement hideux

Je suis loin d'être un "bondophile" mais j'adore la série avec Saniel Craig. www.nouvelobs.com/teleobs/2025...

Même à Milan le soleil se lève parfois.

Du 16 au 18 october au LUFF (Lausanne Underground Film Festival), je présenterai les films démentiels de Kazuo Hara, l'équivalent en documentaire de Fukasaku et Wakamatsu. En sa présence !

Je repensais à Lemmy de Mötörhead, et je me disais que ça faisait comme un nom d'aristocrate, genre "le comte Lemmy de Mötörhead demande une audience à sa majesté" ... ou alors le "marquis Filip de 2Be3"

Ici quelques mots sur ma comédie française préférée www.nouvelobs.com/teleobs/2025...

Robert Redford, ressemblant étrangement à un agent du FBI de Twin Peaks.

Ici je parle d'une de mes idoles: Michael Caine ! www.nouvelobs.com/teleobs/2025...

Un livre sublime: la confession ultra romantique d’une adolescente des années 70, qui était tombée dans l’oubli depuis 1974.

Le replay de l'émission Mauvais Genre où je rends hommage à Terence Stamp à la fin. Mais toute l'émission vaut la peine d'être écoutée avec l'excellente Agnès Michaux parlant de Huysmans. www.radiofrance.fr/francecultur...

Le 2 octobre

Ce soir à 20h, je rends hommage à Terence Stamp dans Mauvais genre sur France Culture www.radiofrance.fr/francecultur... (Hu-Man, Jérôme Laperrousaz,1975)

Oh la bonne nouvelle !!!

« Le ministre Lecornu », franchement c’est du Feydeau

Chouette montage, très bien rythmé www.youtube.com/watch?v=NZ9R...

C'est un film que j'aime surtout pour son design, le glamour 70's, les photos à la Helmut Newton/Guy Bourdin, et la musique bien sûr. Un ancêtre du cinéma du look des années 80.

Et je suis interviewé dans le livre à côté

Chef d'œuvre du mélodrame yakuza, esthétiquement sublime. Le diptyque indispensable si vous avez aimé mon livre Soleil rouge, et si vous voulez vous initier au "Ninkyo eiga", le film de yakuza chevaleresque.

Scerbanenco est à Milan ce que Chandler est à Los Angeles

Et moi dans les bonus !

Je découvre le génial Scerbanenco, une sorte de Chandler italien stylé et désabusé. Souvent adapté par Fernando du Leo.

Bordélique mais sympa Final Reckoning, au moins jusqu'à la scène sous-marine, et les fantômes du Sébastopol. Ensuite, l'entité et le monde de la post-vérité ne sont jamais traités, sinon dans des scènes de salles de contrôle à la Wargames, alors que c'était l'idée qui couvait dès le De Palma.

mon portrait de Marion Cotillard www.nouvelobs.com/teleobs/2025...

Dernier domicile connu (de Roubaix) Le Samouraï (de Roubaix) L’important c’est d’aimer (Delerue) L’Attentat (Morricone) Blue Velvet (Badalamenti) La mort aux trousses (Herrman) Casanova (Nino Rotta) Blade Runner (Vangelis) Inferno (Keith Emerson) Pulsions (Donaggio)

Robert Ryan prisonnier des reflets dans Beware my Lovely (1952) d’Harry Horner

Après avoir vu les 26 Zatoichi, les 8 Lady Yakuza, les 5 Stray Cat Rock et revu les 6 Sasori, les 2 Lady Snowblood, les 6 Baby Cart... Soleil Rouge de @sdumesnildot.bsky.social, passionnant panorama du cinéma japonais d'après guerre, était exactement ce que j’avais envie de lire. Merci

India Song, cet étrange film de fantômes

Sur Insta, mon compte consacré au film noir (au sens large) www.instagram.com/nadja_cinema_/

Mon texte à lire sur Eastasia à propos de "Soleil Rouge – une histoire du cinéma rebelle japonais", passionnant ouvrage de @sdumesnildot.bsky.social sur une période cruciale du cinéma japonais, durant laquelle les mues socio-politiques s’entremêlent à celle d’un cinéma furieux, provocateur et engagé

Terence Stamp, John Hurt et Tim Roth, trio anglais parfait, dans The Hit (1984) de Stephen Frears, excellent film à redécouvrir, avec ses gangsters à la dérive pas loin de Sonatine de Kitano.

Mes quelques mots pour la saluer la mémoire de Terence Stamp, superbe acteur pour qui le paradis doit plus ou moins ressembler à un coucher de soleil sur le pont de Waterloo. www.lesechos.fr/weekend/cine...

Goodbye Terence Stamp, le sublime Toby Dammit de Fellini

Border Incident (1949) de Mann, lien entre le film noir et le western, avec une scène terrifiante, traitée comme un film d'horreur, et qui anticipe les règlements de compte ultraviolents des films de gangsters modernes

Chouette billet de @justinkwedi.bsky.social sur mon livre Soleil rouge ! Merci ! chroniqueducinephilestakhanoviste.blogspot.com/2025/08/sole...

Pas de psychologie, les personnages sont tout au plus des silhouettes

He walked by night (1948), toujours d'Anthony Mann, épure absolu autant du côté de l'image (John Alton dépassant même Nicholas Musuraca dans l'art de sculpter le décor par la lumière), que du scénario (la traque d'un tueur dont one saura finalement rien).

T-men (1947) Anthony Mann, film noir documentaire sur l’infiltration de deux agents du trésor dans une bande de faux-monnayeurs. Ancêtre de To Live and Fie in L.A. De Friedkin mais surtout chef-d’œuvre d’expérimentations de Mann et John Alton, le chef-op génial de The Big Combo de Joseph H. Lewis.