Je confirme. Quelqu'un en a bien déposé une. 🤮 #toilettespubliques

Je pense que le pet le pire est celui que vous sentez arriver de loin. Il vous brûle de l'intérieur avant sa sortie, qui vous crâme le fiaque, ce qui vous indique, généralement, qu'il va, enfin, vous piquer le nez.

Happy Halloween

Je vous l'ai jamais dit mais j'adore mâter M6 boutique quand j'suis déprimé.

Bordel. La dépression et les troubles de l'anxiété ça devrait être reconnu comme un handicap. Sans mentir. Faire la queue. Dans les magasins. Le bruit. Les cris d'enfants. L'agitation. Celle de devant qui raconte sa vie a la caissière. J'ai pas que ça à faire. Au. Secours.

Je suis sorti de l'hospi. Si un jour on vous dit "non, les somnifères c'est sans risques et sans accoutumance" : fuyez !

En urgence psy depuis 2 jours, youhou ! Je découvre le cocktail neuroleptique/anxiolitique/antidépresseur, joie, bonheur... Surtout lobotimisé... Hospilation sous contrainte, pris au piège, privé de libre arbitre. Welcome to prime time bitch !

Quand de nouveau la vague me submerge, je me dit que c'est la fois de trop. Je voudrais qu'elle m'emporte. Ne pas avoir à comprendre le but de tout ça. Je surnage. Je m'épuise dans ces moments là. Ça va bien s'passer me dit-on. Oui, mais quand ?

Histoire d'archiver quelque part tout ce qui m'arrive, je vais lister ici les différents symptômes physiques qui jalonnent ma dépression

Pourquoi le vertige me reprend certains jours, certains matins... Mystère. (Bon j'vais aller prendre mon anxio.)

J'ai l'impression que c'est une photo de mon cerveau en c'moment.

Pour celles et ceux qui me suivent - un peu - dans mon parcours face à la dépression, quelques news. Les antidépresseurs commençent à faire effet. Je vis quelques moments d'éclaircies même si les maintenir me demande un effort. Je suis pris en charge par une psy formidable, c'est pas rien

"comme ils sont beaux les rêves d'hier Oubliés là, dans la poussière Sous un prétexte de temps qui passe On laisse le vent prendre leur place". Zazie/Aaron - La place du vide.

La dépression est pleine d'inconnus. Une fois la vague passée (le traitement aidant), vous avez l'impression d'avoir tout à réapprendre. Que vos anciens réflexes ne sont plus les bons. Des choses simples comme l'organisation du quotidien aux plus intimes (tendresse, sexualité, confiance,...

Bon, des nouvelles. J'ai réussi à dormir plus de 4 heures. Je n'ai pas envie de pleurer au réveil. Je remange. Les choses s'améliorent doucement. On va y arriver.

Bonjour liberté Bonjour tristesse Faire choix de quitter l'être aimé Dans la douleur et la détresse

Des news. Premier rdvs chez le psy ce midi. J'ai hâte. Parce que ça va me faire du bien. Parce que je vais évacuer. Et parce que je n'ai rien d'autre à faire. C'est. Le. Vide. Le temps s'écoule inlassablement dans un ennui mortel. Bourré d'incertitude. Bourré de 'qui suis-je'. De pourquoi moi.

....et puis je (re)fume (2 paquets par jour. Un record)

Les jois de la dépression : le sommeil. Qui ne vient plus. Je le cherche. Et donc je pense. Et donc je m'énerve. Et donc je ne trouve pas le sommeil. Alors je le cherche. Etc..

Un jour je vous raconterais le foutage de gueule complet que j'ai subi cet été. Quand je serais prêt. Mais petite question : à partir de quel moment on sait si on vit avec un pervers narcissique ?

Philmo est mort. Le chanteur du groupe de mes parents quand mes parents étaient ensemble. Ce chanteur fou, entier, fragile, inadapté pour ce monde violent et dénué trop souvent de poésie et d'onirisme. Philmo a toujours été gentil avec moi. L'un des rares hommes à ne m'avoir jamais dénigré.

Je vous assure que l'inventeur du on/off cérébrale fera fortune.

Il est enfin là, l'épisode d'août consacré à Meurtre au champagne ! Avec l'excellent @debrophyoff.bsky.social pour nous tenir compagnie ! smartlink.ausha.co/agathacrimst...

J'ai fait ça y'a une dizaine d'années. Écriture, compo, fabrication. C'est une démo un peu lo-fi. Mais rien n'a bien changé finalement quand je le réécoute... Écouter De Tistesse Et De Joie (demo) par Debrophy sur #SoundCloud on.soundcloud.com/vxggCtt28QQs...

L'incompatibilité de l'instant T. Ce sentiment de voir la terre continuer de tourner. Lointain. Dans ma propre inertie. Perdu et incertain. Comme un enfant qui voudrait entendre et sentir que tout va bien. Que tout ira bien. Quand je n'envisage que du chaos. Du chaos. Du chaos....

Douleur. Sourde. Interne. Agacée. Agaçante. Nerveuse. Cri. Intérieur. Déchirant. Violent. Exaspéré. Garder la façade lisse autant que possible le temps de te préparer tes oeufs à la coq, toi qui me regarde avec ce regard plein d'interrogation et de douceur. Coeur. Déchiré. Incapable. Coupable.

Quand la tête s'arrête, le ventre prend le relais. Centre névralgique là pour te rappeler que si ta tête oublie, ton corps lui sait. Ce n'est pas ton corps qui trahi, mon ami. C'est l'esprit.

Ne dit-on pas "la nuit porte conseil". Premier degré. Non. La nuit, que j'ai tant aimé, pour son calme, ses masques qui tombent, sa solitude, n'est en ce moment qu'un néant dans lequel chaque pensée m'avale. Tout se décuple.Tou n'est que paranoïa. Ce qui part d'un point A devient E=MC2 sans logique

J'ai hâte de retrouver l'énergie. Le sourire. La légèreté. De savoir où est ma place. De me sentir au bon endroit au bon moment. De kiffer. De me trouver. De ne plus pleurer.

Je vois bien que tu guettes une réaction. Que tu cherches à savoir. J'entends ton insécurité même quand tu ne fais que respirer, juste à côté. L'imprévisibilité te ferait donc peur ?

La raison est plus forte que le corps. Inconsciemment, ces mécanismes mis en place pour te protéger de la charogne tapis dans mes tréfonds refont surface. Mes yeux se sèchent. Ma tête a mal. Le corps compense la résistance. Le corps réagit à la faiblesse d'un orgueil trop envahissant.

Vous passez et vivez sous mes yeux depuis ce matin tel des hologrammes mécaniques pour qui la vie reprend comme avant. L'impression que ça me passe au travers. Indifférent. Est-ce moi le fantôme, ou bien vous ?

youtu.be/WZB42zO1bnE?... Heureusement. On a la musique.

Je ne trouve que l'intensité. Je ne cherche que le calme. Et quand le calme, enfin, je trouve, j'invoque le fracas. Bim. Bam. Et boum.

2 tatouages en 15 jours. Cet homme est fou. Cet homme c'est moi.

Variation. Le manège démarre. Tranquillement il suit son ascension. Nouveau point du vue, le même qu'hier à la même heure. Peu de surprises . Que de l'emprise.

Ce doute que tu laisses planer. Un écran de fumée. Je te tâte, je te palpe, je t'étreins, tu m'échappes.

Je vous avais dit que j'allais pourrir vos timelines. Ça passera. Comme le reste.

Je n'aimais pas les yeux bleus. J'ai toujours préféré les yeux sombres. Ils annoncent la couleur. Ils exposent au grand jour leur part de ténèbres. Je n'ai jamais aimé l'océan. Peur de me noyer dedans. Que la vague m'emporte et m'avale. Finalement, ce bleu en surface, ce lac, ce voile d'opale...

Après. Après toi, il y a quoi ? Toi dont tout est empreint. L'odeur de la mousse des bois. Le patchouli. La musique, le cinéma. Ce vase, là, posé juste devant moi. Ces discussions sur tout. Ces moments où l'on n'se dit rien.

Et c'est reparti pour un tour de montagnes Russes. De grand huit écoeurant. Pour l'instant je suis dans la nacelle. En bas. Et j'attends. Je voudrais bien sortir du manège, les portes sont bloquées. Verrouillées. Pas le choix d'attendre - encore - mon tour. Jusqu'au climax euphorique, la hauteur..

Plus je te pousse à prendre la direction qui m'arrange, la moins douloureuse pour moi, plus c'est mes orteils que tu piétines. Que tu grignottes. Chaque pas que tu fais toi me rapproche une peu plus du vide. Et bordel. Que l'abîme est profonde.

Quand je dis 'non', c'est non. M'entends-tu ? Pourquoi négocier encore et encore une chose qui m'insupporte autant. Est-ce donc ça ta façon d'aimer ? Cette certitude qu'un moment, je n'aurais plus mal quand tu viendras fouiller dans la plaie ?

Tu veux tout. Etre capable de se faire du bien en faisant souffrir un tiers, est-ce vraiment se faire du bien ? Et empêcher un tiers de se faire du bien parce que ça nous fait trop mal, est-ce vraiment lui faire du bien ?

On dit que la vie est un cadeau. On dit que l'enfer c'est les autres. Je dis que la vie est une épreuve. Et on a aucune preuve qu'après ce sera mieux. Ou pire. Ou rien. Mais qu'ici, on en chie. Et que l'enfer, c'est bien la vie.

Parfois, l'envie me prend de tout laisser. Souvent. Refermer cette boite. L'enterrer dans un coin, ne plus y revenir et en ouvrir une autre ailleurs. Remplir mon sac au hasard, m'embarquer au hasard, là où je pourrais oublier celui-ci, douloureux, et devenir celui-là que je je ne connais pas.

J'crois qu'le pire, c'est l'ennui de tout. D'avoir cette sensation de vide constant. Que tout est source d'encombrement. Et à la fois, ce manque. Ce vide insupportable. Cette solitude pesante. Ce tuteur inatteignable, inexistant.

Quelle grosse responsabilité que d'être aimé.

Connaissez-vous l'origine de certaines de vos chansons préférées ou d'un(e) artiste musical ? Pour le savoir, le podcast Jura'zik park de @debrophyoff.bsky.social est indispensable. Comme celui-ci, par exemple, consacré à Debbie Harry, chanteuse du groupe Blondie : podcloud.fr/podcast/gala...

L'ami @debrophyoff.bsky.social est un artiste au service des artistes. Pour vous en convaincre, écoutez ce Jura'Zik Park sur Debbie Harry, la chanteuse du groupe Blondie. Il vous prend par la mains et vous fait monter dans un grand huit sensoriel où le fond côtoie la forme. Merci pour ce ride.