La conférence de presse de présentation du 2ème baromètre de la précarité étudiante, c’est maintenant. Cette enquête menée auprès des bénéficiaires des AGORAé, épiceries sociales et solidaires, révèle des chiffres et témoignages alarmants sur la pauvreté étudiante.

Les 90 centimes par repas proposés par la loi Levi sont largement insuffisants. Alors que 20% des étudiantEs ne mangent pas à leur faim, l’Etat doit investir dans des mesures structurante et répondant à l’urgence de la situation.

Une nouvelle aide alimentaire pour les étudiants dont les cours ont lieu en "zone blanche" (à plus de 20 minutes d'un restaurant universitaire Crous). @maelle-nizan.bsky.social, présidente de la Fage, était l'invitée de 6h20, lundi 17 février.

🚨Nous venons d'apprendre la suspension brutale de tous les nouveaux volontariats en service civique à partir du 1/02 pour raisons budgétaires La @fage.org demande à ce que les contrats signés en janvier soient honorés! Nous refusons une fois de + que les économies soient faîtes sur notre jeunesse!

Aujourd’hui, l’Assemblée vote le repas à 1€ pour touTEs. Cette mesure est un premier pas nécessaire : les étudiantEs sautent 3,5 repas/semaine faute de moyens. DéputéEs, les étudiantEs ont besoin de vous.

Pour la démocratie, pour la liberté, la FAGE bascule sur Bluesky. #HelloQuitteX Retrouvez-nous aussi sur Linkedin : www.linkedin.com/company/la-f...

Enfin la fin du #SNU ? Le Sénat a voté pour une suppression du budget du SNU au profit du sport ✅ Depuis 2018 plus de 500 M ont été alloués à ce dispositif inutile‼️ 📣Il est urgent d'investir dans des politiques de jeunesse émancipatrices qui favorisent l'autonomie et l'engagement de chacunE !

Ces propos sont honteux et contraire à la laïcité. La laïcité est la neutralité de ceux qui exercent un service public, pas de ses usagerEs. L’université doit rester un lieu de débat ouvert à tousTES. AucunE étudiantE ne doit être discriminéEs pour ses convictions religieuses.

La responsabilité de l'enseignement supérieur incombe désormais à un ministre délégué. Ce choix n’est qu’un symptôme du manque de priorité accordé aux étudiantEs et universités qui représentent pourtant l’avenir de la société. Cette décision ne fait que croître notre inquiétude.

Face aux enjeux majeurs auxquels est confronté l’ESR en France, il est impensable que le MESR soit réduit à un rôle secondaire au sein de l’Éducation Nationale. Nous avons besoin d’un ministère pleinement autonome et d’unE ministre résolument engagéE pour relever les défis.