[critique] @ericdemey.bsky.social « Art », trente ans et peu de rides bit.ly/3HWlMUl Après une tournée pendant un an, la nouvelle mise en scène de la pièce de Yasmina Reza arrive au Théâtre Montparnasse avec Olivier Saladin, Olivier Broche et François Morel.

Non mais c'est qui ces meufs qui se sont incrustées sur la photo des plus importants dirigeants d'entreprise d'Allemagne ?!? #reunionennonmixite #patriarcatendanger #lecapitalismeestunfeminisme

[critique] @ericdemey.bsky.social « Nour » célèbre la poésie et la musique arabes à Avignon urlr.me/WqY7bk 23 artistes arabophones opèrent la traversée de plus de douze siècles de poèmes et de musiques. Un bel hommage à une culture largement ignorée dans notre pays.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Born again » et « Quelle aurore », avis de naissances à Avignon urlr.me/QDKJH8 Entre un centre d’animation bizarre et deux tiktokeuses avides d’images, cette deuxième série de « Vive le sujet ! Tentatives » livre son lot d’espoirs et de déceptions.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Rinse » libère le refoulé urlr.me/3C2YWh Amrita Hepi convoque toute l’histoire du monde et de la danse pour se forger son propre retour aux sources. Un solo dansé et parlé qui traverse notamment la colonisation de l’Australie.

[critique] @ericdemey.bsky.social Virginie Despentes montre le chemin de la révolte urlr.me/f8Mv7U Avec « Rien n’a jamais empêché l’histoire de bifurquer », Anne Conti porte à la scène un texte inédit de l'autrice, qui affirme haut et fort notre capacité à changer l’ordre du monde.

Les perspectives s'assombrissent mais Avignon n'en finit pas de briller. Explications d'un paradoxe. sceneweb.fr/avignon-devi...

[actu] @ericdemey.bsky.social « Avignon devient le festival des morts de faim » urlr.me/7FC3jH LAPAS dévoile des perspectives plus qu’inquiétantes pour la diffusion des spectacles la saison prochaine. Tandis que le Off bat son plein, des représentants du secteur expliquent le paradoxe de son succès.

[critique] @vbouquet.bsky.social « Le Canard » boîteux de Thomas Ostermeier urlr.me/CsFV5W Reposé sur ses acquis artistiques, le metteur en scène ne parvient pas, au long de l’adaptation contemporaine qu’il en livre au Festival d'Avignon, à donner une quelconque intensité à la pièce d’Ibsen.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Y’a plus qu’à » : les Amish passent à l’attaque urlr.me/8zNGja Au Théâtre du Train Bleu, Julien Guyomard et sa troupe dessinent avec énormément de drôlerie et de finesse la carte d’un cheminement possible de l’action écologique.

[reportage] @ericdemey.bsky.social « L’Écriture ou la vie », théâtre heureux urlr.me/ezdQKB Magnifique aventure autour de l’œuvre de Semprún, le spectacle de Hiam Abbas et Jean-Baptiste Sastre témoigne du pouvoir transformateur d’un projet artistique. Reportage à quelques heures de la première.

[critique] @ericdemey.bsky.social « La Souricière » : Agatha Christie mène l’enquête urlr.me/aSVcpC Le plus grand succès théâtral anglais de tous les temps débarque à la Comédie-Française dans une mise en scène de Lilo Baur, mais, malgré une théâtralité malicieuse, ne parvient pas à passionner.

[critique] @ericdemey.bsky.social « La Fausse Suivante » et la comtesse aux pieds nus urlr.me/NBvfeg L’amour en prend pour son grade dans cette comédie piquante et théâtrale de Marivaux, dont Jean Liermier fait entendre les nombreux échos, historiques et contemporains, mais surtout intemporels.

[critique] @ericdemey.bsky.social Le lourd rocher du « Mythe de Sisyphe » urlr.me/XNca2H Dans une mise en scène de Jean-Claude Fall, Pierre Martot pousse difficilement son rocher sur la scène de l’Essaïon, avec ce texte de Camus qu’une théâtralité quelque peu surannée ne met pas en valeur.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Un Verre à soi », ballon gonflé urlr.me/S8rch4 Dans le cadre du festival Théâtre en mai, Claire Barrabès donne à découvrir ce solo avec pianiste qui enrobe les traditions viticoles pour mieux les dépasser.

[critique] @ericdemey.bsky.social « À ciel ouvert », cirque solaire urlr.me/vKgZYp Le Cirque Aïtal propose un spectacle simple et très émouvant. La famille du cirque s’y mêle à celle des volatiles, et les caravanes formant basse-cour créent un monde drôle, inventif et délicat.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Louise », tours, tournettes et tournis urlr.me/QEvCpM Martin Zimmermann propose un cabaret multigenre dont le propos reste cependant bien vague. Un spectacle porté par des personnalités marquantes dans un esprit néo-clownesque.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Tout est bien qui finit bien », comédie de Fakespeare urlr.me/6QXqaZ Frédéric Jessua monte une pièce rare de Shakespeare, et plonge la liberté provocatrice de l’auteur dans l’esprit de notre époque, produisant un théâtre élisabéthain pur jus aux allures de fake.

[critique] @ericdemey.bsky.social Le « Footballeur » intello d’Arnaud Vrech urlr.me/nGqyJT Sur fond de dialogue entre deux frères, cette création audacieuse flanche parfois du côté de la théâtralité, tout en développant un style singulier et séduisant.

Si vous voulez en savoir plus sur le (potentiel) futur nouveau directeur du 104 ! Mohamed El Khatib www.artcena.fr/magazine/por...

[critique] @ericdemey.bsky.social Avec Maryse Estier, « Le Dindon » glougloute encore urlr.me/HJCKNS La metteuse en scène franco-suisse donne à la pièce de Feydeau de jolies teintes modernes, alliant, avec de très bons interprètes, audace et fidélité à la mécanique du vaudeville.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Prière aux vivants » : Marie Torreton, voix du souvenir d’Auschwitz urlr.me/ty54s9 Toute en sobriété, la comédienne porte le récit de Charlotte Delbo, rescapée des camps de la mort, dans un seule en scène qui traverse une nuit où scintillent de fragiles lumières.

[actu] MeToo : des députés livrent leurs pistes contre la « machine à broyer » dans la culture bit.ly/3E1UwSC Après six mois de travaux et quelque 350 auditions, la commission d’enquête de l’Assemblée sur les violences sexuelles dans la culture a fait près de 90 propositions.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Les Pieds sur Terre » ne décolle qu’à moitié urlr.me/E7VGBp Le texte de Gilles Granouillet, mis en scène par la Compagnie Hercub’, incite à suivre la jeunesse pour retrouver le chemin de la grâce. Mais ce patchwork théâtral laisse un peu éparpillé.

Impeccable communiqué du syndicat des journalistes de France TV, en réponse au soutien de leur directrice de rédaction à MLP : "L’éditorial est devenu le symbole de l’existence d’une caste médiatique, très éloignée du reportage, mais très proche de certains pouvoirs" snj-francetv.fr/les-editos-q...

[actu] @vbouquet.bsky.social Au Festival d'Avignon 2025, des habitués, et un potentiel mirage urlr.me/qbV6eH Organisée du 5 au 26 juillet, la 79e édition, qui compte 42 spectacles pour un total de 300 représentations, mise, avant tout, sur des visages bien connus.

Alors que les institutions sont malmenées et la séparation des pouvoirs remise en cause, il est pour le moins troublant (mot à la mode) que la Cour d’appel de Paris se soit empressée de faire savoir qu’elle jugerait vite. Elle aurait dû prendre tout son temps avant d’éventuellement l’annoncer.

Vu le peu d'effet dissuasif que produit l'exécution provisoire d'inéligibilité sur la probité des politiques, voire son effet négatif, je pense qu'il vaut mieux la supprimer...

[critique] @ericdemey.bsky.social « Le Moche », laid frais urlr.me/F2TAwE À la Comédie-Française, Aurélien Hamard-Padis exhale avec simplicité et habileté toute l’actualité du texte de Marius von Mayenburg, qui donne à voir combien notre société se perd dans l’image.

Viktor Orban : "Je suis Marine". Ok. #CroisonsLes

Ce petit fumet populiste qui va de Mélenchon à Bardella, en passant par Ciotti, Wauquiez, Orban ou Poutine. Surtout que ce ne sont pas leurs premières déclarations contre la justice, et surtout les juges. C’est ce discours qui est dangereux pour la démocratie. Il faudra aussi s’en souvenir.

Après Mélenchon, Coquerel s'exprime sur l'inéligibilité possible de Le Pen en disant que ça ne doit pas être l'affaire des juges. Des explications sur cette position (de mon point de vue difficilement soutenable) de LFI ?

[actu] Galin Stoev quittera la direction du ThéâtredelaCité à l’été 2026 urlr.me/eQnDdB Face à une équation budgétaire qui devient, mois après mois, de plus en plus insoluble, le patron du CDN Toulouse Occitanie décide de mettre un terme de manière anticipée à son troisième et dernier mandat.

[actu] @ericdemey.bsky.social Racisme sur les plateaux : le théâtre fait un peu mieux que le cinéma urlr.me/9Hvywf Quelles assignations ethnoraciales configurent les trajectoires des interprètes ? Face à cette problématique, le théâtre s’en tire (à peine) mieux que l’audiovisuel, selon une étude.

[critique] @ericdemey.bsky.social Le bateau ivre de Mélissa von Vépy urlr.me/TgG2Ax Avec son embarcation qui chaloupe à l’envi et fait voltiger pianiste et circassienne, l'artiste crée un duo homme-machine qui envoûte, mais laisse aussi un peu sur sa faim.

[critique] @ericdemey.bsky.social « T’embrasser sur le miel », Syrie vidéo urlr.me/6qtmKF Dans la première pièce de Khalil Cherti, deux amoureux résistent à la guerre par de petites vidéos qu’ils se confectionnent et s’échangent. Quand le dérisoire et l’imaginaire permettent de se sauver.

[critique] @ericdemey.bsky.social Avec « Grande Ourse », Alice Sarfati ouvre son parapsy urlr.me/vWajtf Au Théâtre 13, la metteuse en scène et sa troupe s’intéressent, avec humour et émotion, à la mécanique des constellations familiales, ces étranges thérapies transgénérationnelles.

[critique] @ericdemey.bsky.social « In Situ », poésie d’une humanité dissoute en images urlr.me/7Rbfqg Le texte de Patrick Bouvet, porté par Cécile Garcia Fogel et le musicien Pierre Durand, et mis en scène par Joël Jouanneau, brinquebale, fulgure par endroits, et met à mal l’attention.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Bonjour l’asile », adieu tristesse urlr.me/kBTmKz Comédie politique et sociale pleine d’humour et de finesse, le film réalisé par Judith Davis avec toute la bande du collectif l’Avantage du doute imagine que pour changer le monde, il faut commencer par soi-même.

[critique] @ericdemey.bsky.social « La Vie rêvée », ou comment Rivière suit son cours urlr.me/VTRpNf Après « An Irish Story », Kelly Rivière emprunte à nouveau le chemin du seule en scène d’autofiction. Un second opus qui, bien que peinant à décoller, confirme tout son talent de comédienne.

Trump-Musk : l’empire de l’apartheid. Mon parti pris sur @mediapart.fr www.mediapart.fr/journal/inte...

[critique] @ericdemey.bsky.social Adama Diop sous Césaire de démiurge urlr.me/JxRScv « L’Apocalypse d’Adam et Aimée », second spectacle conçu par l'artiste, prolonge la voie ouverte par « Fajar » et en duplique certains écueils.

Éradication du savoir pour imposer la vision alternative du chef. On est en pleine dystopie totalitaire. www.liberation.fr/internationa...

[critique] @ericdemey.bsky.social Le fumeux « Procès de Jeanne » urlr.me/WDBUAV Au-delà d’une formidable Judith Chemla, d’une très belle composition musicale et d’un travail vidéo qui finit par s’affirmer, ce spectacle peine à dessiner un regard sur les minutes du procès de notre héroïne nationale.

[critique] @ericdemey.bsky.social Le Birgit Ensemble ravive la mémoire des juifs de France sous Vichy bit.ly/3R3lcot Un théâtre entre documentaire et fiction à la fois instructif et émouvant, et surtout profondément marquant.

[critique] @ericdemey.bsky.social « Fête des mères », mère défaite bit.ly/4hFgvwF Comédie grinçante d’une jeune autrice, Adèle Royné, autour de la figure de la mère, cette pièce mêle aux canons de la comédie bourgeoise sur la famille un air nouveau bien d’aujourd’hui.

Les Goguette et le nouveau gouvernement, excellentisiime ! www.youtube.com/watch?v=PayZ...

Le coût du sombre Hérault...