🎬 BILAN | Nos coups de coeur de septembre 2025 Encore de belles choses à voir en salle ce mois-ci. Six films qui ont séduit les membres de la rédaction en septembre ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/bilan-nos-co...

🧑‍🔧 #BleuDeTravail, bleus au travail ✊ Chez Alice Rohrwacher, le travail à la ferme devient une épreuve intime : entre l’abeille et l’humain, l’autorité du père et le labeur invisible des filles, #LesMerveilles éclaire la dureté derrière l’enchantement. www.lebleudumiroir.fr/critique-les...

#BleuDeTravail Quelques jours avant @delecritalecran.bsky.social, retour sur #Rosetta, dont la tragédie se lit sur le visage juvénile de son héroïne, déjà victime d’une structure sociale hostile à celleux qui veulent simplement s’en sortir. www.lebleudumiroir.fr/critique-ros...

Assurément un film qui ne peut pas laisser indifférent. Mes pensées sur le film sont à lire ci-dessous :)

Si le dicton veut que l’amour rende aveugle, Nadav Lapid en inverse le sens : pour aimer Israël, il faudrait fermer les yeux. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-oui... par @simon-besnard.bsky.social

Se présentant d’abord comme un film d’aventure, #Sirat d’Oliver Laxe se métamorphose, scène après scène, en une proposition de cinéma radicale, jusqu’à flirter avec un sadisme déroutant et éprouvant dans ses dernières séquences. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-sir...

#TheVoiceOfHindRajab : une voix d’enfant, victime parmi tant d'autres de la barbarie, qui résonne au-delà du cinéma. Une réflexion percutante sur le rôle de l'image et notre impuissance collective. Un cri qui ne doit pas rester sans écho. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-the... #Venezia82

Danse, voile, silence : La femme qui en savait trop met en scène la lutte des femmes iraniennes face à un régime qui voudrait les effacer. Hymne ou énigme ? Critique à 4 mains de @theokarbo.bsky.social et @nono-projectrice.bsky.social ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-la-...

En revenant symboliquement à 1998, l’année de son premier long-métrage Pi, Aronofsky s’offre avec #PrisAuPiège une cure de jouvence et révèle un goût du fun qu’on ne lui connaissait pas. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-pri... par @simon-besnard.bsky.social

Dès que l'affiche du film avait été dévoilé je m'attendais à un Aronofsky bien plus accessible qu'à l'accoutumée. Dur de dire si ce Caught Stealing est un virage vers un cinéma moins cérébral dans sa carrière ou une simple parenthèse Mon avis sur le film est à lire sur @lebleudumiroir.bsky.social ⬇️

Ma critique du film Météors d'Hubert Charuel pour @lebleudumiroir.bsky.social, un long métrage touchant et engageant avec beaucoup de bonnes idées mais qui peine à venir à bout de ses idées www.lebleudumiroir.fr/critique-met...

Avec #ValeurSentimentale, Joachim Trier et Eskil Vogt ont une nouvelle fois mis la barre très haut, signant un film complexe et touchant, qui allie profondeur émotionnelle, humour discret et réflexion lucide sur l’art, la famille et le souvenir. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-val...

🗓️ 1 ANNÉE, 1 FILM | L’année 1988 Classique indémodable, pépite oubliée, œuvre culte ou curiosité méconnue : une manière de raconter le cinéma autrement, à travers les ellipses du temps. Cette semaine, l’année 1988, proposée par @epeillon.bsky.social www.lebleudumiroir.fr/1-annee-1-fi...

🎙️JOACHIM TRIER | Interview Pour la sortie de #ValeurSentimentale, nous avons retrouvé Joachim Trier pour un long entretien spontané sur le poids des héritages familiaux, ses choix de mise en scène, sa complicité avec Eskil Vogt et ses acteurs fétiches... 🎥 www.lebleudumiroir.fr/joachim-trie...

Avant de devenir le grand cinéaste de la fluidité que l'on connaît, Edward Yang a expérimenté d'autres formes, toujours en lien avec l'histoire de Taïwan. The Terrorizers est une de ces expérimentations formelles parmi les plus réussies.

#SallyBauer n’est pas un simple récit de dépassement de soi. C’est un film sur ce que cela signifie, encore aujourd’hui, pour une femme de choisir autre chose. De ne pas se conformer à l’image attendue. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-sal... @nourfilms.bsky.social @tplbdm.bsky.social

Soutenu par une mise en scène sobre et une direction d’acteurs irréprochable, L’Épreuve du feu s’impose comme un premier film touchant, fort d’un regard vif sur une jeunesse en mutation, aux prises avec ses contradictions, ses fêlures et ses illusions perdues. www.lebleudumiroir.fr/critique-lep...

Enfin rattrapé l’entièreté de la Trilogie d’Oslo et que dire si ce n’est que c’est certainement le plus bel événement cinématographique de l’année. Tout est y sujet à discussion, à l’ouverture, la tolérance de chacun envers les doutes des autres façonne des idéologies nouvelles, vraie prouesse.

Après des vacances bien méritées, les affaires reprendront bientôt sur LBdM avec les premiers festivals de cette rentrée. @fxthuaud.bsky.social retrouvera bientôt Gindou tandis que deux Bleus passeront quelques jours à la Mostra de Venise. La rentrée cinéphile sera réjouissante.

🗓️ 1 ANNÉE, 1 FILM | L’année 1964 Classique indémodable, pépite oubliée, œuvre culte ou curiosité méconnue : une manière de raconter le cinéma autrement, à travers les ellipses du temps. Cette semaine, l’année 1964, proposée par @squizzz.bsky.social www.lebleudumiroir.fr/1-annee-1-fi...

Ma critique pour @lebleudumiroir.bsky.social de Kouté Vwa 😌 ⬇️

Pas beaucoup de mordant dans ce #DangerousAnimals, faux film de requins dont la singularité cache davantage son manque de moyens et d’ambitions. Reste un petit plaisir à voir la protagoniste dépasser son simple statut de victime. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-dan...

Malgré sa thématique assez sombre (le deuil), Koute Vwa s'avère être un film assez chaleureux, préférant toujours chercher la lumière et le réconfort dans ce que les humains ont de plus pur. L'aspect social du film est évoqué uniquement en filigrane, laissant une place d'honneur aux interprètes

La très riche sélection de la 82e Mostra de Venise. #Venezia82

Pour un avis plus développé, lire le texte de @simon-besnard.bsky.social 👇

Nouvelle semaine, nouvelle année : @theokarbo.bsky.social a proposé l'année 2017. Avec 𝟭 𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲, 𝟭 𝗳𝗶𝗹𝗺, la team #LBdM se prête à un jeu cinéphile durant l'été : chaque semaine une année différente — aléatoire — et y associer un film. Nos recos ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/1-annee-1-fi...

Beaucoup de belles sorties en salles en ce moment et donc beaucoup de textes intéressants des Bleus

Grosse semaine de sorties, avec l'embarras du choix pour trouver son bonheur en salle, sans oublier les ressorties d'Edward Yang. ✍️Nos critiques à lire sur LBdM : www.lebleudumiroir.fr/category/cri... 📲Suivez-nous sur #instagram : www.instagram.com/lebleudumiro...

Le film est à l'image d'une chanson shoegaze : impressionniste, contours flous qui renvoient à une errance existentielle, quelques moments hallucinés. Mais pour devenir une belle chanson, enfin un film, il lui aurait fallu ce souffle d'énergie supplémentaire pour vraiment nous faire vibrer

#SegundoPremio dynamite le biopic musical classique : pas de noms, pas de chronologie, mais une dérive sensorielle entre psychédélisme, deuil et création. Plus proche de I’m Not There que de Bohemian Rhapsody. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-seg... par @simon-besnard.bsky.social

Fascinant dans son entièreté, #LeRireEtLeCouteau est rempli de ces dialogues entre les interactions de ses personnages et leur environnement, dépeingrant un monde fourmillant et mouvant qui atteste des réalités sociales sans tomber dans une analyse rébarbative. www.lebleudumiroir.fr/critique-le-...

Au-delà de sa forme feutrée, très dialoguée et contemplative, #Désir (Sex) s’impose comme un des plus beaux et subtils essais contemporains sur l’amour, l'identité de genre et, en creux, dessine une évocation éclairante de la non-binarité. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-des...

Notre critique de #SamFaitPlusRire (I used to be funny) d'Ally Pankiw, avec Rachel Sennott, en salle le 30 juillet chez @waynapitch.bsky.social ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-sam... par @theokarbo.bsky.social

#PUSHER | Retour sur la trilogie de Nicolas Winding Refn, qui a révélé le cinéaste danois et l'acteur Mads Mikkelsen, de retour en salle en version restaurée 4K. www.lebleudumiroir.fr/pusher-retou... par @simon-besnard.bsky.social

Derrière les strass des Swinging Sixties, un grand vide. #Darling de John Schlesinger (1965), satire cinglante de l’illusion de liberté et du showbiz clinquant, est ressorti en salle en version restaurée 4K. Notre critique ici ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-dar... par @simon-besnard.bsky.social

Je n'y fais pas référence dans l'article mais Darling de John Schlesinger est un film qui a notamment inspiré Sofia Coppola. Mais en réalité, passé la situation initiale (une femme emprisonnée dans une cage dorée) Marie Antoinette par exemple est très différent de Darling.

🎙️MAILYS VALLADE & LIANE-CHO HAN | Interview Amélie et la métaphysique des tubes bouscule les représentations de l’enfance avec poésie et audace. Les réalisateur.ices dévoilent les secrets de cette adaptation unique du roman d’Amélie Nothomb. www.lebleudumiroir.fr/mailys-valla...

Jusqu’au bout, Amélie et la métaphysique des tubes maintient une forme d’idéalisme dans ses images, mais rebouche le trou de sa toile par l’émotion liée au beau sujet de la mémoire. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/amelie-et-la... par @epeillon.bsky.social

Ma critique de Stranger Eyes à lire sur @lebleudumiroir.bsky.social :)

🎙️KOSTIS CHARAMOUNTANIS | Interview Avec #Kyuka, avant la fin de l’été, son 1er long-métrage sorti en salle fin avril, Kostis Charamountanis prolonge une œuvre intime et artisanale amorcée avec une trilogie de courts-métrages tournés au caméscope. Entretien ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/kostis-chara...

Et c'est @theokarbo.bsky.social qui ouvre ce nouveau cycle avec #Kyuka, faux film de vacances et sorte d’album photo en mouvement dont les instants capturés représentent les plus beaux moments d’un court laps de temps. Toujours en salle. www.lebleudumiroir.fr/critique-kyu...

Je pensais pas que Partir un Jour allait autant fédérer la rédaction du @lebleudumiroir.bsky.social

De Julia Ducournau à Coralie Fargeat, Cronenberg n’a cessé d’inspirer (...) mais #Else de Thibault Emin confirme qu’il ne suffit pas de faire preuve d’ambition plastique pour parvenir à une œuvre graphiquement percutante. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-els... par @theokarbo.bsky.social

Objet minimaliste et épuré, #Chime alarme par sa représentation d’un mal endémique dont les frontières sont incertaines. Critique du film de K. Kurosawa ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-chi... par @simon-besnard.bsky.social

Assez déçu par le premier long-métrage de Rebecca Lenkiewicz qui peine à créer quoique ce soit de tangible en explorant la relation entre cette mère et cette fille. Ma critique est à retrouver sur @lebleudumiroir.bsky.social ⬇️

Si #ThePhoenicianScheme peut paraître moins chatoyant que Grand Budapest Hotel, ce n’est jamais rédhibitoire tant Wes Anderson s’amuse à surprendre avec sa fable anti-capitaliste. Critique ⤵️ www.lebleudumiroir.fr/critique-the... par @theokarbo.bsky.social

Critique du film #HotMilk de Rebecca Lenkiewicz, avec Emma Mackey, Fiona Shaw et Vicky Krieps. En salle cette semaine. www.lebleudumiroir.fr/critique-hot... par @simon-besnard.bsky.social

Le dernier film de Wes Anderson démontre la capacité de l’auteur à se renouveler sans pour autant s’oublier. En resserrant son récit sur un ou deux personnages, le cinéaste renoue avec ce qui a fait la force de ses débuts. Critique à lire sur Le Bleu du Miroir ⬇️

En portant à l’écran une figure de jeune femme musulmane et lesbienne avec #LaPetiteDernière, Hafsia Herzi signe une œuvre bouleversante et donne voix à une génération en quête de reconnaissance et de liberté, comblant un vide criant dans le paysage français. www.lebleudumiroir.fr/critique-la-...

En confrontant les spectateur·ices à la violence sourde de la domination patriarcale et aux blessures transmises de mère en fille, Mascha Schilinski nous propulse dans une expérience cinématographique saisissante. Une oeuvre dense, complexe et vertigineuse. www.lebleudumiroir.fr/critique-sou...