Dans le genre "c'est sûr que l'affiche est mieux que le film"

The Appointment s’extrait d’un classique carcan de drame familial teinté de fantastique en tirant toute la force d’une ambiance onirique. Lindsey C. Vickers fascine et trouble dans la représentation de la psychologie de ses personnages tout en maintenant le film dans un état d’énigme

Cachant son petit budget derrière des astuces visuelles peu finaudes, The Devil’s Double n’est guère convaincant. Lee Tamahori ne traite cette histoire du sosie du fils de Saddam Hussein que sous l’angle d’un lisse thriller dépourvu du trouble qui faisait tout l’intérêt du projet

NOUVELLE VIDÉO On connaît tous la saga Predator...mais qu'est-ce qu'elle nous raconte cette saga ? Et nous a-t-elle offert plus de réussites que de déceptions ? Ça se passe ici 👇👇👇 💥 youtu.be/1UxDmWXMvko?... 💥 Je compte sur vos partages et vos messages ❤️

Cachant son petit budget derrière des astuces visuelles peu finaudes, The Devil’s Double n’est guère convaincant. Lee Tamahori ne traite cette histoire du sosie du fils de Saddam Hussein que sous l’angle d’un lisse thriller dépourvu du trouble qui faisait tout l’intérêt du projet

La Belle et le Clochard (1955) Réalisateurs : Clyde Geronimi, Wilfred Jackson & Hamilton Luske

En vrai, j’aime bien la proposition de Chien & chat comme comédie d’aventures familiale où les personnages ne font pas semblant d’être cons. Mais bon il n’y a pas grand-chose qui fonctionne. Ça tourne en rond, la réalisation est super bancale et l’animation franchement moche

Revu Zootopie. Au fil des révisions, le film n’est pas aussi malin que ce qu’il voudrait être. Mais je ne vais pas lui enlever de vouloir se frotter aussi ouvertement à des problématiques sociales, d’autant plus si c’est en convoquant cette forme fun de buddy movie

Entendre aux infos à la radio que les jeunes veulent de plus en plus travailler dans l’intelligence artificielle

L’écriture de Diablo Cody sur Lisa Frankenstein se force tellement à être anticonformiste qu’elle en devient l’inverse. A trop vouloir déjouer les attentes, le film en vient à stigmatiser les anormaux ou asociaux et justifie le mépris pour tout ce qui ne rentre pas dans le moule

Aujourd'hui @yoanorszulik.bsky.social se penche sur Running Man, nouvelle et très bonne adaptation du roman de @stephenking.bsky.social par @edgarwright.bsky.social, et sortie au cinéma mercredi dernier. furyosa.com/running-man-...

Se dire que si Harry Dean Stanton fait un caméo si bizarrement inutile dans Avengers, c’est parce que Joss Whedon a osé couper la moitié de sa scène

Tendres Passions n’a pas réussi à m’emporter avec son partage d’une intimité familiale sur plusieurs années. Mais je reconnais à James L. Brooks la justesse d’un mélange d’amour et de douleur où l’humour des dialogues ne dédramatisent jamais les situations. Brillant casting aussi

Comme le making of du 1er Avatar, Inside Pandora’s Box est sidérant. Pendant que des cinéastes utilisent le tout-numérique comme un outil de facilité et de flexibilité, James Cameron en fait le plus impensable des casse-têtes logistiques pour servir ses ambitions artistiques

RIP Udo Kier. Ça fait mal de se dire qu’on ne le verra plus jamais apparaître sans prévenir dans un film

Il suffit d’enlever à l’homme sa solitude pour que surgissent les inégalités et le bordel qui va avec. Ron Howard ne fait pas dans la subtilité pour sa démonstration sur la nature humaine. Mais Eden se suit avec intérêt en profitant de son casting et de sa rude représentation de la nature

Domino sortait au cinéma il y a 20 ans ou quand Tony Scott radicalisait les expérimentations de Man on Fire sur un script azimuté de Richard Kelly. C’est sûr qu’on n’est pas sur du biopic à oscars là

Jon Chu est définitivement un cinéaste trop inoffensif pour prendre en main la réinterprétation/subversion du Magicien d’Oz. Le discours de Wicked : Partie II perd toute puissance en n’envisageant la relation de ses personnages que sous l’angle de la bienveillance et mièvrerie

Running Man est le film le plus impersonnel d’Edgar Wright. Mais s’il ne prend pas en main formellement la satire, il s’assume en artisan livrant une fidèle adaptation du livre où l’action menée tambour battant ne diminue jamais le propos sur le fascisme et la manipulation des masses

Moins fort que La Nuit du 12, Dossier 137 utilise toutefois aussi habilement sa quotidienne approche procédurière. Il intègre ainsi la distanciation politique au cœur des personnages, témoignant du gouffre entre l’idéal humain d’un système et la réalité de ses actions

2e visuel 3D… pour Help!!! cette fois-ci. Toujours réalisé par Johnnie To et Wai Ka-Fai 😉 en précommande sur la boutique en ligne de l’indispensable @lechatquifume.bsky.social le vendredi 28 novembre 🤗

La Route d’El Dorado (2000) Réalisateurs : Bibo Bergeron & Don Paul

Toujours à fond sur les films oubliés des années 80/90 #LetterboxdFriday #LastFourWatched

Sur le papier, The Mambo Kings est assez caricatural. Toutefois, sa réalisation se met au diapason du genre musical investi. Le rythme fiévreux s’accorde ainsi avec des personnages au sang chaud et c’est difficile de ne pas accrocher à ce débordement de vie et de passion

The House on Carroll Street joue assez bien avec son complot aux yeux de tous et sa variable boussole morale au nom de l’intérêt supérieur. Dommage que l’intrigue manque de tension et que la mise en scène de Peter Yates reste fonctionnelle malgré un séduisant travail de reconstitution

Revu Die Another Day. Désolé mais pour moi c’est toujours un gros plaisir cette aventure bondienne qui assume à fond son statut d’épisode festif, convoquant les aspects les plus sérieux de la franchise et ceux les plus bouffons en un grand capharnaüm absolument jubilatoire

J’étais assez mécontent de te devoir me priver de Shelby Oaks en cette semaine chargée de sortie ciné mais vu la gueule des premiers retours, je loupe apparemment au final

Running Man réalisé par Edgar Wright sort aujourd’hui au cinéma. Nous avions évoqué dans un de nos dossier la première adaptation faite dans les années 80, son faible rapport avec le roman de Stephen King et son procès pour plagiat de Le Prix du danger www.courte-focale.fr/cinema/dossi...

Qu’est-ce qui est passé par la tête de Carl Reiner sur L’Amour dans de beaux draps ? Il refuse catégoriquement le pastiche de thriller offert par son pitch, n’en travaillant ni le style ni les ressorts narratifs. Du coup, la comédie s’agite dans le vide pour un résultat aussi plat que chiant

Si on suit @monsieurbobine.bsky.social depuis un moment, on ne sera pas étonné des pistes développées dans L’œuvre de James Cameron, Explorateur de mythes. Il n’en reste pas moins une lecture fort intéressante pour démêler les paradoxes du cinéaste et sa nature inclassable

Bonne surprise qu’Article 99 où les patients et docteurs d’un hôpital pour vétérans doivent mener une guerre contre la bureaucratie et ses coupes budgétaires. Porté par une efficacité permanente, il arrive étonnamment à faire cohabiter charge contestataire et démonstrations larmoyantes

Je l’aime Paycheck et son statut de film mineur. Il en est un archétype avec un script SF faiblard devenant fascinant par le regard que pose dessus John Woo, tissant sans fin des trouvailles qui nourrissent l’action, la saveur hitchcockienne et les élans romantiques du récit

Dans la foulée de La Neuvième Configuration de William Peter Blatty, Intersections annonce une autre édition hautement attendue avec Glengarry Glen Ross de James Foley

Volte/face (1997) Réalisateur : John Woo Directeur de la photographie : Oliver Wood

Lu la première intégrale 1991 des X-men. Aventure dans la terre sauvage, space opera, voyageur temporel… des idées déjà vu que Claremont mène avec soit exaltation soit une lassitude narrative. Très inégal donc et les dessins surexcités de Jim Lee n’arrangent rien à l’affaire

Hedda est un grand plaisir de cinéma pensé dans ses moindres détails. Si elle en sacrifie un peu trop vie et spontanéité, la méticulosité de Nia DaCosta régale tellement elle met passionnément en scène toute la provocation, angoisse et lâcheté entourant son personnage titre

Maison Hantées : Possession aurait pu jouer du décalage comique entre son gentil nigaud de héros et les effets horrifiques popularisés jadis par Hideo Nakata. Mais ça choisit de se prendre trop au sérieux, faisant tomber à plat tout le potentiel du mélange des genres

L’adaptation du jeu vidéo Doom sortait il y a 20 ans. Alors oui c’est débile et pas très bien foutu mais moi cette grosse connerie me fait marrer

Sérieux et documenté tout en glissant tranquillement sur un ton comique, L’inconnu de la Grande Arche est moins centré sur l’obsession de l’architecte à contrôler son œuvre que l’inadéquation d’un homme simple face à un monde protocolaire exigeant une grande diplomatie politique

1er teaser pour Varanasi de S.S. Rajamouli. youtu.be/DMD2uthghWE?...

La Méthode Williams est au cinéma ce que les bouquins de développement personnel sont à la littérature. Au lieu de questionner en profondeur la nature de la success story des Williams, il n’en retient que sa vertu bassement inspirante pour accoucher d’un film aussi inintéressant que problématique

A l'instar du deux, je pense qu'Insaisissables 3 veut prouver que Louis Leterrier n'est pas l'infâme tâcheron vu par certains. Au moins, le stade pourrigolo est atteint avec sa multiplication de tours de passe-passe qui n'ont aucun sens et Rosamund Pike dans son numéro de froide garce

Toujours au fond du catalogue MGM sur Amazon Prime #LetterboxdFriday #LastFourWatched

Loin de la bouffonnerie, Frank Perry inscrit la comédie de Rancho Deluxe dans cette désenchantée ambiance 70’s. La grandeur des paysages américains contraste avec la vulgarité et apathie des personnages. Plus aucun idéal n’est à l’œuvre et chaque action est motivée par un besoin de tromper l’ennui

Malgré la présence de Jordan Peele en producteur, le thriller sportif horrifique #Him (retitré G.O.A.T. en France) s'est pris un méchant bide aux USA. Un échec tel que la sortie salles française a été annulée. Le film de Justin Tipping sortira finalement en DVD le 4 février 2026.

Pas grand-chose dire à la fin de la saison 1 de Long Story Short. C’est du récit familial attachant et bien fait mais au bout du compte plutôt convenu dans son genre, n’arrivant jamais à dégainer une idée bouleversante que ce soit dans son ton ou son approche de la chronologie

Réalisé par l’autre George Miller, The Aviator est un trop modeste film d’aventures où Christopher Reeve et Rosanna Arquette doivent survivre en pleine nature après un crash. C’est assez peu palpitant, les personnages manquent de saveur mais le petit charme old school opère

J’ai du mal à comprendre ce qui a séduit Frank Capra dans le script d’Un trou dans la tête. Si le personnage d’immature père célibataire a du potentiel, l’histoire est d’une extrême maigreur et tellement dépourvue de dynamisme qu’elle en reste à un état de guimauve insignifiante

L’abstraite séquence de voyage temporel dans Star Trek IV : Retour sur Terre (Leonard Nimoy – 1986)

Revu Terminator 2. La créativité de James Cameron dans l’action reste exceptionnelle, éprouvant ses personnages à tous les niveaux dans cette lutte contre la déshumanisation du monde où les instances policières et psychiatriques font autant office d’ennemi que les robots