C'est dans la vocation plus prosaïque du film de documenter le présent que son approche surplombante et mortifère accuse ses limites.

Boys in the Band revisite une œuvre marquante de l'histoire du cinéma gay, lesbien ou queer. Ce mois-ci : Mysterious Skin de Gregg Araki.

Ciné-club Critikat : rendez-vous à 20h le lundi 24 novembre aux 3 Luxembourg pour une projection de Between the Lines de Joan Micklin Silver, en partenariat avec le festival Entrevues Belfort. www.facebook.com/eve...

La mise en scène n'est pas ici le vecteur d'un regard, mais l'instrument de son évidement.

En s’intéressant à des métiers variés, cette nouvelle série d’entretiens propose un panorama des contributions à la palette d’un film. Premier invité : Jérôme Bigueur, étalonneur.

Une fois par mois, L’après-coup revient sur une image ou une série d’images tirées d’un ou plusieurs films récents. Ce mois-ci : les routes parcourues dans Sirāt et Une bataille après l’autre.

Le nouveau film d'Ethan Coen se rêve en film noir lesbien et en série B déjantée mais échoue à convaincre sur les deux tableaux.

Le paradoxe de del Toro est qu'il aime tellement les monstres que ces derniers finissent par ne plus en être : ses films démontrent autant qu'ils "dé-monstrifient".

Tatsuya Nakadai (1932-2025)

Loznitsa signe une fiction rigoureuse et mathématique, mais pas exempte d'une tendance au stabilotage.

Sylvain George décentre son regard et s'ouvre aux quotidiens de ceux qu'il filme, ainsi qu'à leur manière alternative d'habiter la ville.

Chaque mois, Portaits d'Amérique part à la rencontre d'une personnalité cinéphile de l'autre côté de l'Atlantique. Ce mois-ci : Sam Abbas.

En prolongement de la sortie de A House of Dynamite, revenons sur un aspect vivement critiqué des deux précédents films de Kathryn Bigelow, Zero Dark Thirty et Detroit : la représentation de la violence.

Pour ce nouvel épisode de L'Ombre d'un doute, trois de nos rédacteurs débattent de A House of Dynamite et The Chronology of Water.

Au sommaire de novembre : La Voix de Hind Rajab • Kathryn Bigelow, à l'intérieur de la violence • Un été chez grand-père • La fabrique de la couleur : Jérôme Bigueur, étalonneur

De ce double portrait documentaire se dégage la sidération d'un cinéaste russe regardant son pays sombrer dans une folie furieuse.

Pour ce premier épisode de Rebonds, le nouveau format vidéo de Critikat, retour sur Vénus noire et la circulation des regards au sein de l'oeuvre d'Abdellatif Kechiche.

L'intérêt et la limite de cette adaptation est de s'en tenir à l'éclat d'un soleil trompeur, qui porte dans son irradiation une ambivalence plus calculée que troublante.

Peter Watkins (1935-2025)

À lire bientôt sur Critikat : La Voix de Hind Rajab, retour sur la réception critique et morale des films de Bigelow, Un été chez grand-père...

Parallax regarde le cinéma d'aujourd'hui en miroir de celui d'hier. Ce mois-ci, les heures sombres de A House of Dynamite de Kathryn Bigelow rappellent celles de Point Limite de Sidney Lumet.

Bigelow livre un film conceptuel très rusé, qui fait de l'étude d'une situation dans sa dimension la plus technique le ferment d'une asbtraction.

Si l’on devait baragouiner comme les personnages, on pourrait dire que cet énième tour de carrousel ne vaut pas tripette.

Bien que La Petite dernière évite plusieurs écueils, sa forme reste enclose dans une joliesse un peu trop lisse.

Chaque mois dans The Scores, un.e invité.e partage ses bandes-son préférées. Dans ce nouvel épisode, Lagrima (musicien) nous parle de Memoria, Conversation Secrète ou encore Cowboy Bepop.

Dans ce beau documentaire, le cinéaste met en scène son tiraillement identitaire à travers un dispositif hybride, tour à tour immersif et performatif.

Dracula incarne bel et bien le monstre du titre : au-delà de son principe de vampirisation, le film se présente comme un corps exsangue et dévitalisé.

Ciné-club Critikat : rendez-vous à 20h le lundi 27 octobre aux 3 Luxembourg pour une projection de Malignant de James Wan, suivie d'une discussion avec Pierre-Jean Delvolvé et Josué Morel. www.facebook.com/eve...

Une fois par mois, L’après-coup revient sur une image ou une série d’images tirées d’un film récent. Ce mois-ci : le miroir et ses déclinaisons dans Together.

La sortie de Deux pianos permet de faire le point sur un trait désormais récurrent du cinéma de Desplechin : la misogynie, qui n’est pas ici un à-côté de l’écriture, mais constitue le cœur même du récit.

Diane Keaton (1946-2025).

Re:Voir consacre un coffret aux films les plus rares des débuts de Philippe Garrel, marqués par une radicalité formelle et une collaboration intime avec Nico.

Sergueï Loznitsa élude les scènes de guerre pour se concentrer sur ce que personne d'autre, ou presque, n'enregistre.

On aimerait davantage aimer le film, parce qu'il s'adresse avant tout à nous. Mais force est de reconnaître qu'il est à peu près aussi charmant qu'anecdotique.

Pour ce premier épisode de L’Ombre d’un doute, le nouveau podcast de Critikat, trois membres de la rédaction débattent de Oui de Nadav Lapid et de Kontinental ’25 de Radu Jude.

Au sommaire d'octobre : A House of Dynamite • Deux pianos • Philippe Garrel avec Nico • Soleil rouge, une histoire du cinéma rebelle japonais

Bientôt sur Critikat : A House of Dynamite, Philippe Garrel avec Nico, Soleil rouge...

Plus inspiré lorsqu'il se détourne de sa pente didactique, Panahi témoigne ici et là d'un art de la situation.

Chaque mois, Portraits d’Amérique part à la rencontre d’une personnalité cinéphile de l'autre côté de l'Atlantique. Ce mois-ci : Jake Perlin, créateur du cinéma Metrograph à New York.

Johan Grimonprez entrelace les archives pour susciter une forme de désorientation générale, mais aussi tirer des documents brassés un élan proprement musical.

La riche actualité autour de Radu Jude (deux nouveaux films et une rétrospective au mk2 Bibliothèque x Centre Pompidou) est l'occasion de faire le point sur la trajectoire de son œuvre iconoclaste.

« Quant à la mort inévitable, si je meurs, je veux une mort bruyante. »

Une fois par mois, Parallax regarde le cinéma d’aujourd’hui en miroir de celui d’hier. Ce mois-ci, l’ombre des Ailes de William A. Wellman plane sur Top Gun : Maverick de Joseph Kosinski.

Chaque mois dans The Scores, un.e invité.e partage ses bandes-son de films favorites. Pour ce premier épisode : le mix de Liyo Gong, monteuse et co-fondatrice du collectif musical HE4RTBROKEN.

Chez Anderson, la révolution s'apparente d'abord à un état émotionnel momentané, une ardeur à entretenir ou une ivresse dont le film cherche à épouser les flux et les reflux.

Rendez-vous le 29/09 pour une projection de Vénus noire d'Abdellatif Kechiche. www.facebook.com/eve...

Ce qui frappe et impressionne dans ce film pauvre, c'est sa richesse : l'alliance du microscope et du panorama, de l'archi-modestie du regard et de la profondeur du propos.

Du 26 au 28 septembre au Ciné 104 de Pantin, le festival Des mots à l’écran explore les liens entre cinéma et littérature, avec plusieurs séances présentées par Étienne Cimetière-Cano, rédacteur à Critikat.

Laboratoire de recherche appliquée dans les IA et la culture visuelle, Filmatters propose un moteur de recherche dédié à l’exploration de la matière filmique. Rencontre avec ses deux créateurs.

Une fois par mois, Boys in the Band revisite une œuvre marquante de l’histoire du cinéma gay, lesbien ou queer. Premier arrêt : Shortbus de John Cameron Mitchell.