Time to : recommencer Yellowstone avec un verre de vin, une mauvaise pizza et du chocolat.

Ok : j’angoisse à mort que ce mec réussisse à me faire perdre/quitter ce job que j’adore et qui, au passage, me permet de vivre décemment avec mes deux enfants. Level de sérénité : -12457. Crise d’angoisse : ma pire depuis mes 20 ans.

J’ai passé la nuit dans les bras de B, c’était nécessaire et agréable. Mais une fois seule, les larmes viennent facilement à la mémoire de l’épisode d’hier. Je pense que c’est dans mon top 3 des moments professionnels les plus violents.

Aujourd’hui, en guise de représailles à mon alerte sur un éventuel biais sexiste dans son comportement, mon chef m’a dit que j’étais « agressive », que je « montais dans les tours » et que je lui manquais de respect » lors de nos échanges. On est d’accord que c’est son cadeau de Noël ?

Hier, c’était mon premier concert en solo. Et j’ai réussi à braver l’appréhension avec cette phrase « personne ne sait que tu viens seule ». J’avais un siège entre deux places restées vides.

La soupe n’a pas été mangée, je répète ; aucune soupe n’a été mangée ce soir.

Et le mec, mignon, me dit « je suis en chemin, je te dépose une soupe » Oui, oui. J’attends bien au chaud.

Ce soir, j’attends T. Ma maison est rangée, propre, les draps sont jolis et doux. (Comme moi. Oups). C’est notre occurrence de décembre. Et, j’ai un rhume énorme qui me tombe dessus. Je boude.

Ce matin, K m’annonce sa séparation et son départ pour un ailleurs un peu trop loin. Je suis si triste pour lui, j’avais envie de le prendre dans mes bras.

Super : le chef boude depuis que nous avons discuté de son micro management soupoudré de sexisme et de harcèlement. Mais qu’il est susceptible !

Actuellement chez mes parents en train de leur installer leur nouveau pc. Priez pour moi.

Le boss m’a offert ce matin le plus joli des cadeaux : l’envie de ne plus le préserver.

Et l’enfant 1, qui pleure depuis 3 semaines, parle enfin : elle ne supporte plus la nonchalance de son père et les conséquences sur sa vie de jeune fille.

Incroyable.

Ailleurs, un homme essaye de me convaincre qu’on peut différencier l’homme de l’artiste. En 2025. Avec une bio où je ne cache pas mon féminisme. Don’t feed the troll, ok, mais putain c’est difficile quelquefois.

Un an après le passage de J dans ma vie, je me trimballe encore des moments où mon ventre se serre lorsque quelque chose me rappelle son souvenir. J’avais dit non. Et il en a eu rien à foutre.

À Milan, il y a eu ça. (Je vous épargne les monuments, ils sont bien mieux pris en photo sur Google )

Il y a eu ce moment où T a possiblement employé les termes « week end en amoureux » au tel avec sa sœur alors que j’étais (pas du tout) nonchalamment allongée à ses côtés. Oh. Putain.

Maintenant que j’en pars, je peux vous le dire : Milan est une belle ville pour jouir.

Je file avec T explorer une ville italienne ce week end. Tellement heureuse de la simplicité de cette histoire que j’ai presque failli oublier de glisser des bas résille dans mon bagage.

Et ils sont où les mecs qui veulent absolument être mes soumis quand il faut changer mes pneus neige dans le froid, hein ? Monde2merde

Rah mais putain, pourquoi j’ai installé hinge à nouveau ? (Question rhétorique : les hormones, je sais)

Terrible ennui au travail.

Hey, ami.e.s d’ici : que donne la marque iris lingerie en qualité ?

J’ai eu ce soir la conversation la plus inconfortable possible avec T. J’en suis sortie avec le sourire aux oreilles et le manque de ses bras.

L’esprit ailleurs qu’au travail (dans le lit de B par exemple).

Mon esprit galère avec le flou de la relation avec T. J’aime les choses carrées et définies, avec lui, rien ne l’est. C’est ce que j’aime et qui me mets légèrement en panique pour le moment.

Ce week end, j’ai parlé d’un truc qui m’a perturbée à T. Il a repoussé mes doutes rapidement. Ce matin, je me lève avec un long message de sa part où il s’excuse d’avoir été trop rapide et propose un temps dédié pour en discuter. J’adore. (Je vais donc passer la journée à réfléchir à ça)

Détail d’été.

Désactive ton réveil !

Pour oublier le silence de la maison : ce soir : puzzle 3D, demain, montagne, après demain : B.

Je crois, je dis bien je crois, que j’ai trouvé un successeur à O en termes de goût pour la lingerie. Hâte de voir briller des yeux.

J’apprends de T à temporiser mon lien. À respirer loin de ce qui peut étouffer l’autre ou soi. Je crois que j’avais ce besoin de réapprendre la tempérance, c’est un excellent guide pour moi qui adore la flamboyance. (Mais putain, c’est quelquefois difficile)

Un peu triste que deux de mes amies proches aient choisi de s’exiler au pays de la chocolatine. Ou pas loin.

J’ai passé la journée dans les draps. Et je ne suis pas malade.

Tellement en train de m’engueuler avec l’ex que je vais être obligée de muter notre conversation. Une réussite.

Pas certaine que mon lien avec T survive à nos 5 semaines d’éloignement. Il m’avait confié être nul à maintenir le contact dès lors que ses enfants étaient là, il était très lucide. Quel vide.

Mon boss ne souffre pas du syndrome de l’imposteur contrairement à ce que ces messages pourraient laisser penser. Non, c’est un imposteur.

Actuellement en train de profiter du meilleur côté de ma relation avec G : sa pince Molly et son cours pour m’apprendre à m’en servir.

Je me prends un SPM de compet dans la tronche ce mois ci. Un qui fait chialer devant les pubs et rager en voiture. Demain, je cherche une spécialiste du sujet, c’est décidé.

Ma sœur se dissout dans les amours qui se succèdent et l’emportent loin de ses enfants. Et moi, j’ai l’impression d’être impuissante à lui rappeler que le plus important, c’est elle. Et elles. Mais pas ces mecs qui l’abîment un peu plus à chaque fois.

Je ne comprends absolument pas mes collègues qui justifient l’utilisation de l’ia pour un gain efficacité. Genre : ils pensent vraiment toucher de l’argent ou récolter de la gloire pour ça ?

Trop de taf. Pas assez d’enfants. Hormones en folie. Sport à outrance. Pas de chocolat dans les placards. Rah mais putain. (Voilà)

L’œuvre. L’artiste. Épisode 1

Je n’ai pas vu T depuis 3 semaines. Prochaine rencontre dans 2 semaines pour un concert et une nuit partagée. Extrêmement difficile d’être séparée de lui aussi longtemps; les messages n’ont pas la douceur de son sourire. (Et mon trouble de l’attachement est en panique)

J’aime bien la façon dont les hommes de mon âge se décrivent sur les sites de rencontre : « jeune homme ». Et non, mec, t’as 40 ans, les genoux qui craquent, des problèmes de sommeil et 5 poubelles de tri dans ta cuisine, il n’y a plus rien de jeune chez toi. Mais c’est pas grave, ça va aller.

J’ai ajouté de bien jolies occupations à celles initialement prévues hier soir. C’était chouette. Maintenant, je vais essayer de ne pas passer la journée à somnoler !

Tips : si le message que vous vous apprêtez à envoyer à un.e conquête, même potentielle, ressemble à « salut machin.e, que deviens tu depuis tout ce temps ? », un conseil : abstenez vous.

Je suis toute seule ce soir. Et je n’ai aucune envie de l’être, seule. J’ai juste envie de sortir, jouir et rire. (Ceci n’est pas un appel à message)

L’ex demande à s’abonner à mon compte IG. J’hésite à accepter juste pour le faire bénéficier du contenu féministe enragée, héritage de ma précédente relation. Avec lui.