Sujet éminemment casse gueule et pourtant bien traité. On sent le poids de l’institution qui traumatise encore les victimes. L’acting est sobre et porte bien le propos.

Graphiquement c’est beau mais, comme le premier, ça ne raconte rien. L’acting est nul et toutes les ref, tous les clins d’œil, tous les coups de coudes sont insupportables.

Est-ce que l’humour et la gaudriole sont les meilleures armes pour traiter les différents sujets du film ? Est-ce que le cabotinage des deux personnages principaux aident le propos ? Est ce qu’un film 45 minutes moins long aurait été plus digeste ? Beaucoup de questions, peu de réponses.

Notre épisode d’octobre est dispo sur toutes les bonnes plateformes (liens dans notre linktree en bio). On y parle du blues ! On en discute ici ou sur le discord.

Notre épisode d’octobre est dispo sur toutes les bonnes plateformes ! (liens dans notre linktree en bio) On y parle de films sortis en juillet 1981 quelque part dans le monde : Viens chez moi j’habite chez une copine, Hurlements, À nous la victoire et Wolfen. Bonne écoute !

À l’époque on devait se dire qu’en prendre plein les mirettes allait faire passer la pilule. Mais des sfx, aussi bons soient-ils, ne compensent pas l’absence du reste.

Le film d’un ennui mortel n’est même pas sauvé par ses effets spéciaux pourtant tops pour l’époque, la faute à un scénario trop pauvre et un acting déplorable.

Film trop lent ou rien ne démarre avant le dernier tiers, lui même porté par une intrigue un peu claquée. Sérieusement, des loups qui défendent un territoire déjà urbanisé depuis des décennies ? Malgré Albert Finney, c’est un grand non.

Les deux premiers tiers du films sont pleins de promesses, et rappellent La Grande Évasion. Le film s’effondre complètement dans ce dernier tiers ridicule, où l’on assiste à un match loisir du dimanche matin joué, par des quinqua, à deux à l’heure et mal filmé. Ça renvoie presque au Führer en folie.

Récit initiatique superbe. On passe du rire aux larmes en quelques plans et ça c’est fort. Plusieurs degrés de lecture, ça convient donc aux petits et aux grands. Wall-e et le Géant de fer ont un beau concurrent.

Le film dépeint un personnage à la fois moderne et complexe. Est-il authentique ou opportuniste ? On nous montre les deux faces d’une même médaille sans vraiment prendre parti. Il s’occupe peu du fait divers, inspiré d’une histoire vraie, qui n’est ici qu’effleuré.

20 premières minutes poussives pour partir ensuite sur un délire cinématographique wtf. Les yeux qui pleurent pendant la quasi intégralité du film. L’histoire ? Le scénario ? Les acteurs ? Le montage ? Osef. Ne demandez rien, prenez juste du plaisir.

Un bioman sous tranxen, une action sous psychotropes, un scénario vide et un montage épuisant. La seule copie de ce film est conservée à la cinémathèque. Ça dit beaucoup de choses.

Le mari de Pia Zadora a retardé la distribution du film pendant 3 ans pour ne pas nuire à la carrière de sa femme. On le comprend. Le film avait pourtant le but inverse.

Egotrip sous acide, montage catastrophique, son catastrophique, scénario catastrophique, mais expérience incroyable (nuit nanarland). À voir. À plusieurs.

Un wudonit un peu trop expéditif (il ne se passe rien pendant au moins le 1er tiers du film) et à l’intrigue dont on se fout un peu aussi. L’intérêt réside dans les confrontations entre les personnages mais là aussi on effleure juste la surface et on ne va pas assez en profondeur malheureusement.

Une ode à la gitane maïs, à la musique synthétiseur des années 80, au slip kangourou et aux plans nichons. Un ovni audiovisuel.

#Fil 1/6 ⚽️ Nouveau Débrief d’On défait le match : focus sur les défenseurs centraux ! Épisode spécial : Nico & Ju passent en revue vos choix, vos arguments et vos préférences. Analyse, complicités et désaccords au programme ! 🎙️ www.vodio.fr/vodiotheque/...

Un film qui démontre une nouvelle fois, que l’intégrisme religieux, quel qu’il soit, ne conduit qu’à la folie, au meurtre, au chaos. Le sujet est intéressant mais pas assez traité en profondeur.

Parce que dans la vie, y'a le bon film sur les chasseurs et y'a le mauvais film sur les chasseurs. Dispo sur toutes les bonnes plateformes (liens dans notre linktree en bio) et on en parle ici ou sur notre discord.

Très bon thriller policier, basé sur une histoire vraie. On s’intéresse aux petites mains de l’ETA. Même si certaines scènes manquent de tension ou de suspense, on comprend les rouages et le fonctionnement de cette organisation terroriste et le travail de l’ombre qu’il a fallu pour la démanteler.

Y’a rien qui va dans ce merdier, acting, scénario. Le matériau de base est tellement con. Tu rajoutes un peu d’histoire, tu mélanges avec de l’ésotérisme et des loges maçonniques et tu as une substantifique moelle pour nourrir toutes sortes de théories complotistes. Du grand art.

Le début est trop lent, répétitif, on met 45 minutes pour arriver à la partie, plus plaisante, où ça part en couille. Bon c’est un peu vis ma vie de fils d’oligarque mais c’est plutôt bien écrit et bien interprété.

Comme souvent dans les comédies françaises, on repasse les plats, on ressert les mêmes blagues jusqu’à épuisement (le maire…) et on empile les clichés. Et là, coté clichés, on est servi, parisiens, campagnards, chasseurs, jusqu’à l’overdose. L’humour est une chasse gardée, pas accessible à tous.

C’est l’histoire d’un anthropologue qui se rend compte dans les années 80 qu’il suffit de se balader dans la rue pour rencontrer des gens. Et il tombe sur des mecs chelous, à Los Angeles. Bizarre.

Basé sur un fait divers, le film ne parvient pas à se départir d’une lenteur et d’un ennui aussi profond que ses protagonistes. C’est pas très bien réalisé et peu captivant, aussi triste que la campagne anglaise un dimanche de pluie.

Un twist qui fait basculer le film au bout de 20 minutes (heureusement qu’on m’avait dit de ne par regarder le trailer) et on part dans des directions assez inattendues. Thriller assez classique mais rehaussé par le jeu des acteurs. La bonne surprise de 2025.

C’est prometteur, on y sera !

#Fil 1/6 🎙 Bienvenue dans l’épisode 11 de Bouillon de Bulles ! Cette fois, je reçois Pascal Chind, président de l’association Fabrication Humaine, qui défend et valorise la création humaine à l’heure de la production artificielle. L’émission est à découvrir ici : share.transistor.fm/s/91969cf5

Notre épisode de septembre est dispo sur toutes les bonnes plateformes (liens dans notre linktree en bio). On y parle gros bateau et nage à contre courant ! On en discute ici ou sur le discord.

Notre épisode de septembre est dispo sur toutes les bonnes plateformes ! (liens dans notre linktree en bio) On y parle de films sortis en juillet 2003 quelque part dans le monde : Johnny English, La maison des 1000 morts, Dark blue et Bad boys II. Bonne écoute !

Un western lambda avec une intrigue des plus banale. C’est pas le Eastwood qui vous transportera le plus et qui vous fera voyager.

Alors je vais faire, de la nostalgie, du fan service, du jump scare et je vais ramarer tous les films de la franchise au chausse pieds. Et on va faire ça jusqu’au bout, ça devrait passer crème. Il serait peut être temps d’arrêter la saga.

Une belle finesse d'écriture. Le dernier tiers nous maintient sur le fil et peut basculer à tout moment pour, au final, nous offrir une conclusion assez inattendue. Une satire caustique, sombre et amère du show biz, des médias et de la société américaine dans son ensemble.

Tension serait le maître mot. La musique y contribue alors que le film est à peine commencé. Il y a quelques invraisemblances, surtout la fin, mais qui ne gâchent pas l’ensemble du film.

Un thriller captivant. Des personnages sombres, une ambiance suintante, bref le ciné espagnol qu’on aime voir depuis 10 ans. Grande réussite.

Affligeant. Y’a rien qui va, scénario incohérent, casting raté, direction d’acteurs inexistante. Même les scènes d’action sont nulles à chier. Au. Secours.

#Fil 1/4 🎙 Décoince Ta Bulle – La Rediff #3 2h passionnantes avec Frédérick Sigrist. Humoriste, comédien, auteur, voix de France Inter, producteur de Blockbusters… et surtout geek passionné et amoureux du 9ᵉ art. 🎧 3.1 : share.transistor.fm/s/d3957393 🎧 3.2 : share.transistor.fm/s/2a9a8723

Pour se rafraîchir avec le bon air de Savoie (ou bien ?). Dispo sur toutes les bonnes plateformes (liens dans notre linktree en bio) et on en parle ici ou sur notre discord.

Comme le premier opus, efficace mais qui tire un peu en longueur à certains moments.

Quelques longueurs mais un actioner globalement très plaisant. Denzel irradie sa grande classe et son charisme dans un ride quasi continu d’ultra violence.

Notre épisode d’août est dispo sur toutes les bonnes plateformes (liens dans notre linktree en bio). On y parle mandales coréennes ! On en discute sur le discord.

Aucune surprise. Le scénario est bateau au possible, tous les enjeux ont déjà été vus plein de fois avant. Tout est cousu de fil blanc. Sitôt vu, sitôt oublié.

Putain c’est aussi mauvais que le précédent. Ça raccroche les wagons avec Incassable de manière grossière. Ça ne raconte rien, ça n’a ni queue ni tête. On plonge dans la fosse septique.

Il a vrillé quand mns ? Il a fait 2 films bien et depuis rideau. C’est de la merde en barre. Bravo le nouveau Hitchcock…

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Le film a le charme suranné des années 70. Mais je vois pas trop le génie que certains lui ont trouvé. Ça ne raconte pas grand chose et je me suis un peu fait chier quand même.

Don Lee sais faire le gangster Don Lee sais faire le flic Don Lee sais tout faire Don Lee est un dieu Le dieu de la mandale

Le film est tourné comme un documentaire ce qui lui donne évidemment un cachet plus authentique. Le grand intérêt de la narration est d’avoir concentré le récit uniquement par le prisme de la rédaction et de l’équipe tv quasiment sans rien montrer de la prise d’otages. Un bel exercice de style.

Je pense que c’est à ça que ressemblerait un séminaire de brain-branling entre bezos, zuckerberg, musk, brin et page. Un endroit où ils passeraient leur temps à se palucher les uns les autres, entretenant leur rêve de contrôler le monde.