Le 10e jour de Noël Mon Université m'a donné Dix refus d'abandonner...

Le 9e jour de Noël Mon Université m'a donné Neuf raisons d'exister...

Une université portant un nom qui respecte son rôle fondamental et son mandat régional et provincial doit assumer pleinement son identité, y compris dans le processus de changement de nom qui s'impose.

En ce 8e jour de Noël Mon Université m'a donné Huit vieilles excuses...

13 décembre: Jour du Souvenir acadien pour ns rappeler le nombre d'Acadiens et d'Acadiennes dcd pd ce qui fut plus qu'un "Grand Dérangement", sur env 11 000 qui ont subi la déportation env 5 000 sont morts de maladie, de faim et de noyade, moitié d'eux: enfants de -de 15 ans.

Jour du Souvenir acadien aujourd'hui, le 13 décembre. Souvenons-nous des milliers morts en raison des conditions de la déportation illégale, et surtout des 850 Acadiens, femmes et enfants et hommes victimes des naufrages en mer en cette journée. Et nous voulons un nom fier !

Le 7e jour de Noël Mon Université m'a donné Sept silences lourds...

Le 6e jour de Noël, Mon Université m'a donné 6 consultations manquées...

Le 5e jour de Noël Mon université m'a donné Cinq refus de rencontres...

Le 4e jour de Noël Mon Université m'a donné Quatre coûts gonflés...

Le 3e jour de Noël Mon Université m'a donné Trois mémoires déposés...

Le 2ième jour de Noël Mon université m'a donné Deux pétitions citoyennes...

Et bien voilà. Un autre exemple de changement de nom.

Le premier jour de Noel Mon université m'a donné... Un nom colonial qui divise

Le premier jour de Noel Mon université m'a donné... Un nom colonial qui divise

Donner un nouveau nom... c'est nommer le présent à la lumière de notre histoire et tracer l'avenir avec les mots qui nous rassemblent. Parce que nommer, c'est se reconnaître.

Et enfin mettre fin à l’aNOMalie d’un nom qui reflète plus la subjugation, répression et génocide des Acadien(ne)s…

Donner un nouveau nom... c'est nommer le présent à la lumière de notre histoire et tracer l'avenir avec les mots qui nous rassemblent. Parce que nommer, c'est se reconnaître.

Un nouveau nom, ça se peut.

Des consultations pour trouver un nouveau nom, C'EST POSSIBLE ? Eh bien, on en apprend des choses.

États Généraux de l'Acadie du N-B : Y aurons-nous l'occasion de débattre la question du changement de nom de notre université ?

Une université portant un nom qui respecte son rôle fondamental et son mandat régional et provincial doit assumer pleinement son identité, y compris dans le processus de changement de nom qui s'impose.

Quelqu'un ?

Décoloniser, c'est donner à notre université un nom qui célèbre fièrement l'Acadie et sa culture.

Acadian political thinking had almost always included some estimation of Mi’kmaq intentions, &this would be of considerable importance for the way in which Acadian policy developed after 1713.» - Migrant to Acadian, A North American Border People 1604-1755, Naomi E.S. Griffiths

Trois membres du Comité citoyen pour un nouveau nom ont rencontré le conseil d’admin. de la SANB, soit Lise Ouellette, porte-parole, Michel Charette et Rosella Melanson. Extrait du communiqué de la SANB: «Une partie importante de la séance a porté sur les travaux du Comité citoyen. Le CA a pris

Comme preuve que ça se peut, un changement de nom...

Mais notre seule université francophone au NB est réfractaire à une telle idée. Pourquoi s’identifier à la communauté quand on peut faire le contraire?

Notre communiqué de cette semaine. Des nouvelles personnes se joignent à nous.

Et bien revoilà. Comme preuve que ça se peut, des changements de nom...

Comme preuve que ça se peut, un changement de nom...

Bravo, M. Gallant. Joignez-vous à nous.

«J’ai trouvé mon acadienneté à l’UnivdeMoncton qd j’ai fait mon bacc en loisirs. Je me suis aperçu qu’il y avait d’autre monde comme moi. Je suis né ds petit village.J’étais franco mais ça cliquait pas que j’étais en Acadie.Ma 1ère année, j’ai vu 1755 au Kacho. C’est un peu là q ça a commencé pr moi

«Les jeunes, ce n’est pas notre avenir, c’est notre présent. Il faut s’assurer qu’ils ont une place. Je veux m’assurer que nos jeunes restent ici, qu’ils soient capables de vivre en français et que ceux qui sont partis puissent revenir en Acadie. Pour moi, la SNA, ce sont les champions de l’Acadie.»

5 nouvelles voix se joignent au Comité citoyen pour un nouveau nom. Des forces fraîches pour ce comité, composé de 12 personnes, qui poursuit ses démarches en vue de convaincre l’Univ acadienne de se donner un nouveau nom plus représentatif du peuple acadien. Notre site internet: nouveaunom.ca

5 nouvelles voix se joignent au Comité citoyen pour un nouveau nom. Des forces fraîches pour ce comité, composé de 12 personnes, qui poursuit ses démarches en vue de convaincre l’Univ acadienne de se donner un nouveau nom plus représentatif du peuple acadien. Notre site internet: nouveaunom.ca

«Les langues officielles sont de la matière vive qu’il faut façonner sporadiquement. (La révision annoncée de la loi) devrait permettre aux aîné.es de pouvoir se faire servir en français dans les foyers de soins. Tant que l’Acadie voudra continuer à vivre en français, ça sera toujours un combat»

«Les langues officielles sont de la matière vive qu’il faut façonner sporadiquement. (La révision annoncée de la loi) devrait permettre aux aîné.es de pouvoir se faire servir en français dans les foyers de soins. Tant que l’Acadie voudra continuer à vivre en français, ça sera toujours un combat»

«Après l’audience, la prés de SANB était visiblement touchée par ce qui venait de se passer. "Je suis vraiment émotive de représenter l’Acadie. Ma communauté doit être fière. Mes ancêtres qui se sont évadés de Déportation, qui ont survécu ds bois, les Arseneau, Savoie, LeBlanc seraient fiers de moi"

Sur l'importance de reconnaître notre situation actuelle.

«Auj, personne ne vient nous envahir. Mais on nous oublie. Et l’oubli, c’est une forme d’effacement. Il est temps que les francophones et les Acadiens du N-B exigent le respect qu’ils méritent. Il est temps d’en finir avec les petits pains.» Lettre, K.Haché, 7 nov 2025

«Certains voudront parler de misère Mais moi je veux revivre mon pays Un pays sans frontières, jardin de mon père Un pays ranimé par un torrent de fierté» – Extrait des paroles de la chanson, Je reviens au berceau, Grand Dérangement, 2004.

Et qui exécutait cette déportation? Monckton dont notre université acadienne porte le nom.